sabato 24 ottobre 2009

vin for life

venerdì 23 ottobre 2009

elisabetta di baviera imperatrice d'austria

sissi vienna 1858 foto ludwig angerer

martedì 20 ottobre 2009

da trieste a berlin col mus

A Berlin avec son âne pour les 20 ans du mur

Randonnée. Avec Phébus, il suit l'ancien rideau de fer pour évoquer l'avenir de l'Europe.

Thomas Jonckeau et son âne Phébus avant de quitter Trieste pour la Slovénie. Photo DDM.
Thomas Jonckeau et son âne Phébus avant de quitter Trieste pour la Slovénie. Photo DDM. Thomas Jonckeau et son âne Phébus avant de quitter Trieste pour la Slovénie. Photo DDM.

Thomas Jonckeau, un jeune étudiant en histoire de Puylausic fêtera de manière originale son vingtième anniversaire. Après avoir parcouru, en compagnie de son âne Phébus, les frontières que marquait le rideau de fer, à raison de 20 à 30 kilomètres de marche quotidienne, il arrivera le 9 novembre à Berlin pour les cérémonies de commémorations de la chute du mur en 1989. « Cette aventure est un symbole, je n'ai jamais connu le rideau de fer et je ne l'ai découvert qu'au travers de mes études… j'adore aussi les voyages et j'ai décidé de me lancer dans cette aventure. » Le garçon n'est pas un débutant. Il a longtemps et souvent marché au pied de l'âne. Pour sa première grande balade il a longé le canal du midi pendant 18 jours. Mais ce fut surtout une initiation de cohabitation avec un âne. « Il me fallait apprendre l'art délicat qui consiste à bâter Phébus et à bien équilibrer la charge. » Son examen d'ânier réussi, Thomas pouvait se lancer dans un périple plus long. L'an dernier, à l'été, à Lectoure, il prenait le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Il allait le suivre jusqu'au bout, se payant le luxe d'un détour sur le port de la Corogne.

Au début de l'année, Thomas Jonckeau n'imaginait pas se rendre à Berlin pour cet anniversaire symbolique. « Quand la fac de Toulouse a été bloquée j'ai décidé de travailler seul… pas facile et après quelques semaines, la rêverie l'a emporté, et comme je travaillais sur l'effondrement du bloc communiste, j'ai naturellement pensé à ce périple. Je dois dire que j'y avais déjà pensé en cheminant vers Saint-Jacques. »

Mais pour le jeune Gersois qui a jeté les premières bases de son périple au mois d'avril, il fallait faire vite. Convaincre ses parents, trouver des sponsors pour aider au financement de l'aventure et prendre d'indispensables contacts dans les pays qu'il allait traverser. Il lui fallait aussi penser à l'âne, ferrage vaccination et début d'une préparation physique qui se poursuit pendant le voyage.

Le plus facile n'a pas été la définition de l'itinéraire. Thomas a rallongé son périple par rapport à l'ancienne frontière entre les deux blocs.

Par moments, tout cela avait des aspects de course contre la montre. Mais le 11 juillet tout était prêt pour monter dans un van qui allait les conduire jusqu'à Trieste. Cette ville au Nord-est de l'Italie, fut son point de départ. et aussi un symbole fort de son voyage : un port entre plusieurs cultures, au rendez-vous entre l'orient et l'occident, balançant entre les influences italiennes, slaves et germaniques.

Les premières étapes lui ont fait découvrir la Slovénie, puis l'Autriche. Chaque fois les journaux ont été intéressés par l'aventure de ce jeune Français… Pour Thomas qui a aussi marché en République tchèque, les conditions de voyage deviennent plus difficiles. L'hiver approche et si l'âne Phébus a mis le poil d'hiver et fait de la graisse pour se protéger du froid, Thomas ne peut que doubler ses duvets et se protéger de l'humidité comme il peut.

Ces journées sont l'occasion de merveilleuses découverte, d'une Europe et de civilisation que le jeune étudiant ne connaissait que par ses livres. Son voyage se veut aussi pour une Europe du futur. Il ne manque jamais d'ouvrir le dialogue avec les personnes qu'il rencontre pour connaître leur vision de la grande fédération européenne. Le retour vers le 15 novembre sera l'occasion d'un livre, des souvenirs… mais aussi des impressions sur une Europe et un monde d'affrontements qu'il n'a pas connu.


Solidarité, accueil et blog

Thomas Jonckeau a été surpris par la générosité des gens qu'il rencontre. Même les personnes de condition modeste ont tout fait pour l'aider. « beaucoup de personnes m'ont offert spontanément de la nourriture, un café ou carrément le gîte et le couvert, ils n'ont pourtant aucune raison de le faire, ils ne me connaissent pas, et je n'ai rien à leur offrir en échange, je ne les reverrai jamais et pourtant… »

Toutes ses aventures Thomas Jonckeau les raconte, au jour le jour, ou presque sur son blog, entretenant des échanges réguliers avec les écoliers de Samatan et de Lombez qu'il a rencontré avant de partir. On peut aussi les lire en tapant sur Google : http://danslespasdelane.blogs-de-voyage.fr/

source

lunedì 19 ottobre 2009

bora.la - la muleria de trieste

http://bora.la/2009/10/19/la-muleria-de-trieste/

venerdì 16 ottobre 2009

lorenzo pilat - medley canzoni triestine

mercoledì 14 ottobre 2009

l'attaque des blobs marins en méditerranée

En avant-première, la bande-annonce de l'attaque des blobs... © National Geographic

Dans toutes les mers du monde, il neige. Composée de détritus organiques, elle saupoudre perpétuellement les fonds marins. Le réchauffement des eaux de surface et l’augmentation de la stabilité qui en découlent peut favoriser l’agglomération de cette matière en un mucilage marin, pouvant former de monstrueux « blobs ».

Le mucilage marin est un stade d’évolution gélatineux de la neige marine qui peut atteindre des dimensions énormes et couvrir des centaines de kilomètres de littoral. Lorsqu’ils sont de dimensions importantes, ces mucilages représentent des habitats extrêmes caractéristiques d’une dégradation environnementale du milieu.

La mer Adriatique, dans la Méditerranée, est la zone la plus sévèrement touchée par le phénomène. Observés pour la première fois en 1729, les mucilages marins se sont manifestés sporadiquement, mais depuis une trentaine d’années leur fréquence d’apparition s’est considérablement accrue.

En haut, bande de mucilage sur la côte, en bas, un échantillon de mare sporco (mer sale), où l'on distingue bien le mucilage en surface. © Danovaro et al. CC

A l’aide de techniques moléculaires, l'équipe de Roberto Danovaro du Département des Sciences Marine, de l’Université Polytechnique de Marche et du Département des Sciences de la Vie de l’Université de Trieste (Italie) ont déterminé les potentialités d’accueil des « blobs ».

Ces monstrueux blobs abritent en effet une biodiversité microbienne vaste et exclusive, ainsi que des espèces absentes des eaux environnantes. Par ailleurs, l’étude sur 200 ans des fréquences d’apparitions des mucilages et de leurs relations avec le changement climatique a révélé un lien entre ces deux phénomènes. Le nombre d'éruptions mucilagineuses a augmenté de manière presque exponentielle au cours des vingt dernières années. L’accroissement de ces éruptions est ainsi intimement relié aux anomalies de température.

source

i blob o globster

blob st augustine

wikipedia

mercoledì 7 ottobre 2009

triestin suicidé sous un train à milhaud

Édition du samedi 3 octobre 2009

Drame ferroviaire : un homme s'est jeté sous un train à Milhaud

Publié à 15 h 50 - Un homme âgé d'une cinquantaine d'années, et d'origine italienne, s'est jeté sous un train, ce matin, vers 7 h 30 à Milhaud. Il est décédé. La victime se trouvait sur les voies au moment où arrivait le train Narbone-Marseille, roulant à environ 60 km/h. Le piéton tentait-il de traverser les voies à pied ou s'est-il jeté volontairement sur la motrice ? Cet homme d'origine italienne est décédée sur le coup. Sa voiture immatriculée en Italie a été retrouvée un peu plus loin sur la route. source source si uccide l'uomo che filmava le donne a barcola

lunedì 5 ottobre 2009

trieste - 5000 rose parco ex opp

NUOVO PARCO CON 5MILA ROSE A TRIESTE:TONDO(FVG)UNA SFIDA VINTA (AGI) – Trieste, 4 ott. – Mosso dall’impegno ‘a conoscere le tante opportunita’ che il Friuli Venezia Giulia offre e che spesso non sono conosciute e valorizzate’ il presidente della regione Fvg Renzo Tondo ha partecipato, assieme a numerose altre autorita’ tra cui Maria Teresa Bassa Poropat e Roberto Di Piazza, rispettivamente presidente della Provincia e sindaco del Comune di Trieste, all’inaugurazione di ‘Oltre il giardino’, il parco di oltre 5 mila varieta’ di rose creato nel cuore del comprensorio di San Giovanni a Trieste. Esprimendo il suo apprezzamento per il lavoro fatto dal direttore dell’Azienda sanitaria, Franco Rotelli, e dalla sua equipe nel recupero dell’ex OPP, il presidente ha detto che ‘le risorse che a tal scopo abbiamo messo a disposizione sono state spese bene e nell’interesse della comunita’, evidenziando l’importanza del lavoro sociale in una regione che ’soffre piu’ di altre la crisi economica’. ‘Le aziende si riprenderanno – ha continuato il presidente – ma ci sara’ ancora disoccupazione e crescera’ il peso sociale delle nostre responsabilita’, cosi’ come la necessita’ di dare risposte che non possono garantire solo assistenza, ma anche qualita’ della vita e la capacita’ di creare le condizioni dello sviluppo della nostra comunita’. ‘Il prossimo anno ci troveremo con una importante quota di risorse in meno’ ha continuato il presidente, confermando un calo delle entrate fiscali di 400 milioni, ma ribadendo che ‘la popolazione non deve pero’ soffrire per questo e sanita’, assistenza, welfare non dovranno subire conseguenze’. ‘Cercheremo di sostenere i settori produttivi perche’ c’e’ bisogno di produrre ricchezza – ha confermato Tondo – e dovremo fare dei sacrifici, ma garantiremo le risorse necessarie ai servizi sanitari ed assistenziali’. ‘Non possiamo pero’ pensare che il futuro di questa nostra comunita’ possa essere agganciato soltanto alle risorse del settore pubblico – ha concluso il presidente ribadendo che sempre di piu’ saranno necessari l’impegno civile e una collaborazione forte tra pubblico e privato, volontariato cooperazione sociale’. (AGI) source